- 03 avril 2018
- | Source: Dobbit
Autoconstruction - épisode 40

Comment construire un mur de soutènement? - Ep. 40 - Tandis que nos fenêtres sont en production, nous travaillons dans le jardin. Dans cet épisode d'Autoconstruction, nous montrons comment vous pouvez construire un mur de soutènement. Celui est nécessaire pour compenser la différence de niveau avec le sol des voisins.
Transcription
Dans l’édition précédente, nous avons réalisé la première étape de la fermeture de notre habitation, parce que nous avons commandé les fenêtres!
Nous avons vu comment les profils des châssis sont laqués et préparés et comment on a réussi à réaliser un double vitrage.
Dans cette émission, nous allons travailler dans le jardin, en attendant nos fenêtres. Nous allons y placer un mur de soutènement pour rattraper la différence de hauteur avec le terrain de notre voisin.
Nous travaillerons environ 48 heures avec l’entrepreneur. A 40 euros de l’heure, nous épargnons ainsi 1.920 euros.
Femme 1
A la hauteur des voisins, nous allons devoir placer un mur de soutènement. Pourquoi devons-nous placer un mur de soutènement? C’est dû au fait que le terrain du voisin est plus haut que notre terrain. Et afin que ce terrain ne subisse pas de l’érosion et ne s’effondre, il est nécessaire de placer ici un mur. Ce mur retiendra la terre qui restera ainsi bien en place et nous avons ainsi une démarcation nette entre les voisins.
Femme 1
Nous devrons placer un mur de soutènement à la hauteur des voisins. Un mur de soutènement, pourquoi devons-nous le poser? En fait, c'est parce que les terres des voisins sont plus hautes que les nôtres. Et en fonction du fait que ce sol n'aurait pas d'érosion sur notre sol et ne s'effriterait donc pas, nous devons en fait placer un mur ici. Ce mur bloque ce sol, et de cette façon, il reste bien en place, et nous avons une démarcation nette entre l'un voisin et l'autre.
Femme 1
Nous devrons placer un mur de soutènement au niveau des voisins. Un mur de soutènement, pourquoi devons-nous le poser? En fait, c'est parce que la terre des voisins est plus élevé que la nôtre. Et en fonction du fait que ce sol n'aurait pas d'érosion sur notre sol et ne s'effriterait donc pas, nous devons en fait placer un mur ici. Ce mur bloque ce sol, et de cette façon, il reste bien en place, et nous avons une démarcation nette entre l'un voisin et l'autre.
Nous plaçons ce mur de soutènement à la limite avec le voisin. C’est pourquoi il est important de le faire en accord avec celui-ci. Vous pourrez ainsi directement placer le mur à la bonne place et avec l’accord des deux partie!
Pour savoir où se trouve exactement la limite entre les deux parcelles, nous allons d’abord tendre une corde. Du côté de la rue, la limite est indiquée, nous pouvons donc y mettre un premier poteau.
Et à l’arrière également la limite est indiquée, avec un petit bloc de béton. Là aussi, nous pouvons planter un poteau dans le sol.
En tirant maintenant une corde entre les deux points, nous savons où se trouve la ligne de limite.
Nous n’allons pas construire le mur jusque du côté de la rue, donc nous devons encore mesurer la bonne longueur.
En collaboration avec l’architecte de jardin, nous la fixons à environ 32 mètres.
Car du côté de la rue, il n’y a plus de différence de niveau avec le voisin et un mur de soutènement n’est donc pas nécessaire.
Pendant nos travaux, nous prenons déjà un rendez-vous avec l’architecte de jardin.
Nous partons du plan de notre terrain.
Nous indiquons aussi ce que nous aimerions avoir dans notre jardin, comme par exemple une terrasse et une serre et l’architecte va préparer une proposition.
Avec les plans du géomètre, nous avons aussi pu déterminer où nous allions mettre le mur de soutènement.
Maintenant que l’emplacement est exactement déterminé, nous pouvons commencer les fondations. Elles sont nécessaires pour que le mur soit stable et qu’il ne s’effondre au fil du temps. Le fournisseur du mur de soutènement nous donne les indications nécessaires que nous essayons de suivre le mieux possible.
Les fondations doivent avoir une profondeur de 40 cm.
Nous commençons par une couche de béton de 35 cm. Quelque part à mi-chemin, nous devons encore prévoir un tuyau de drainage pour évacuer l’eau.
La fondation doit enfin être terminée par une fine couche de cailloux. Tout cela forme une couche de base parfaite sur laquelle nous pourrons construire le mur bien droit.
Nous débutons par les travaux de creusement. Les fondations doivent avoir environ une profondeur de 40 cm et de 70 cm de largeur, car nous devrons travailler 10 centimètres de plus de chaque côté du mur même.
Nous avons donc décidé de louer une grue.
Avec une bonne pelle montée dessus, nous pourrons plus rapidement creuser.
Pendant les travaux d'excavation, nous vérifions régulièrement la profondeur avec le laser de construction. Ainsi la fondation aura partout la même profondeur et nous ne creusons pas trop.
Afin de veiller que notre couche inférieure ne soit pas trop salie par de la terre ou de la boue, nous posons une toile anti-racines dans le trou.
Nous le faisons par mesure de sécurité supplémentaire, mais en principe, ce n'est pas forcément nécessaire.
Ensuite, nous pouvons commencer à remplir.
Ici aussi, notre grue sera bien utile. Elle nous permet de répartir rapidement et facilement les débris de béton.
On pose d’abord une couche d’environ 15 centimètres. On place ensuite le tuyau de rainage d’un diamètre de 8 centimètres.
Celui-ci permettra de récupérer l’eau qui viendra dans les fondations et de l’évacuer, parce qu’une couche de béton sec assure une bonne perméabilité à l’eau.
Si la fondation n’est pas drainée, l’eau s’accumulera sous le mur, ce qui peut provoquer l’effondrement du sol.
Parce que le terrain qui viendra finalement contre le mur, du côté du voisin, contiendra aussi beaucoup d’eau. Le drainage assure donc un résultat stable et durable!
Veillez à ce que le tuyau soit légèrement incliné vers l’évacuation afin que l’eau ne stagne pas dans celui-ci.
Un tel tuyau de drainage est composé d’un tuyau PE recouvert de polypropylène. L’humidité peut ainsi suinter par les parois et arrive finalement dans le tuyau.
Homme 1
Ici vient le mur de soutènement parce que le morceau du voisin est plus haut que le niveau de notre propre terrain.
Et pour ce mur de soutènement, nous avons déjà réalisé une fondation.
Ici vient aussi une toile anti-racines pour éviter les mauvaises herbes.
Pour la couche de béton, une grosseur de gravier de 0 à environ 40 mm.
Cela assure un bon drainage. Et pour être certain que toute l’eau puisse être évacuée, nous avons encore un tuyau de drainage qui y est intégré.
Maintenant, nous allons continuer à remplir avec une couche de béton qui sera encore secouée et nous pourrons ensuite y placer notre mur de soutènement.
Le béton restant, nous le posons sur une épaisseur de 20 cm, ainsi la couche totale aura l’épaisseur indiquée de 35 centimètres.
Il est préférable d'utiliser des débris de béton grossiers pour votre fondation. Selon votre fournisseur, il peut s'agir de pièces de 4 à 40 mm.
Et s'il y a encore des particules fines, assurez-vous qu'elles ne représentent pas plus de 10 % de la masse totale. De cette façon, vous êtes sûr qu'il y aura suffisamment de perméabilité à l'eau dans votre fondation.
Nous achevons notre fondation avec des graviers d’un format 2/7.
Cette mesure veut dire que la grandeur de pierres varie entre 2 et 7 mm. C’est donc un peu plus fin que les graviers utilisés pour notre béton.
Avec cette dernière couche perméable, nous pouvons égaliser le sol. Ainsi, nous avons une base bien nette sur laquelle nous pouvons construire notre mur de soutènement.
Cette couche ne doit avoir une épaisseur que de quelques centimètres. Vous aurez ainsi assez de jeu pour niveler la fondation.
Dès que tout est au niveau souhaité, il faut encore secouer l’ensemble.
En faisant cela, vous fixez tous les petits cailloux qui se trouvent en-dessous, ce qui évitera plus tard les affaissements.
A l’aide d’une plaque de vibration, vous passez quelques fois sur la couche supérieure afin que l’ensemble de la fondation soit immobilisée.
Nous pouvons maintenant commencer au mur de soutènement en lui-même. Sur le plan qui est livré avec le mur, nous voyons immédiatement le résultat.
En plus des blocs muraux – disponibles en différentes couleurs, et des contre-blocs – qui assurent le contrepoids du mur, il y a aussi les blocs d’ancrage.
Ceux-ci assurent que les pierres du mur restent fortement liées ensemble.
Nous finissons l’ensemble avec des couvres-mur.
Homme 1
Sur notre fondation, nous avons mis une couche de graviers. Nous les avons secoués…. Et les avons bien mis à plat.
Maintenant, nous pouvons continuer avec notre système d’empilage à sec. Nous avons donc des blocs que l’on voit et des contre-blocs.
Les contre-blocs s’accrochent aux blocs visibles et assurent un ensemble stable.
Le plus important est de travailler de niveau, dans une ligne droite.
Nous positionnons d’abord avec précision notre corde à l’endroit et à la hauteur de l’endroit où doit venir notre première rangée.
Veillez à ce que votre rang inférieur soit un peu en-dessous du niveau du sol. Ainsi le mur sera bien encastré et vous augmentez ainsi la stabilité de l’ensemble.
Ensuite, nous pouvons commencer la construction.
Il est particulièrement important que la rangée inférieure soit parfaitement droite!
Du fait que nous travaillons ici avec un système de montage à sec, à comparer à des blocs Lego, il n’y a pas de couche de colle qui pourrait éventuellement compenser des différences de hauteurs… Si notre première rangée n’est pas de niveau, le reste sera bancal et donc pas droit.
La couche de graviers nous donne la latitude nécessaire pour placer les pierres parfaitement droites. Nous les accolons à notre corde tendue et nous contrôlons avec le niveau dans toutes les directions pour vérifier que tout est bien droit. Là où c’est nécessaire, on peut taper légèrement avec un marteau en caoutchouc. On peut ainsi régler l’ensemble sans abîmer la pierre.
Avec le laser de construction, nous pouvons aussi contrôler régulièrement pendant le travail que notre rangée est bien à la bonne hauteur.
Nous plaçons ensuite les contre-blocs. Il s’adaptent parfaitement avec leurs dents dans les rainures des pierres du mur.
Si les pierres murales sont correctement placées, avec le côté sur lequel les bords des ouvertures sont fraisés, vers le haut, alors nous pouvons aussi placer les blocs d’ancrage.
Vous devez les placer dans une position stable. Cela veut dire dans un trou avec les dents vers le haut et vers le bas, et dans le trou suivant avec les dents dirigées vers les côtés.
Cela assure un résultat beaucoup plus solide du fait que les pierres sont mieux ancrées et qu’elles peuvent moins bouger.
Le placement de la première rangée demande patience et précision. Mais une fois que vous avez trouvé la méthode la plus confortable pour vous, ceci est relativement simple.
Vous pouvez choisir de niveler la sous-couche à l’aide d’un épandeur de colle ou de plâtre.
Un niveau peut aussi être utilisé comme latte d’égalisation.
Si vous êtes plusieurs personnes à travailler ensemble, vous pouvez facilement vous compléter les uns les autres.
L’un pose les pierres, tandis qu’un autre place les blocs d’ancrage ou les contre-blocs.
Au bout du mur, on utilise un bloc de coin. Il a aussi une finition sur le côté, si bien que ceci assure un beau résultat.
Pour masquer le dernier contre-bloc, nous allons encore faire un retour avec une pierre du mur. Mais pour cela, nous devons la couper au milieu.
Après avoir dessiner correctement, la ligne nous pouvons la couper avec la grande meule.
Faites cela loin du mur. Ainsi vous n’aurez pas de poussière sur vos pierres et vous n’aurez pas non plus de dégâts. Parce que cette poussière contient des particules de ciment qui pourraient se fixer sur le mur.
Dès que la pierre est coupée en deux, on peut la positionner à l’aide du niveau et du marteau en caoutchouc, afin que le coin soit parfaitement adapté au reste du mur.
Une fois que notre premier rang est en grande partie placé, nous pouvons passer à l’étape suivante: l’alourdissement des contre-blocs.
Parce qu’ils ne sont pas suffisamment lourds pour offrir assez de contrepoids à notre mur. Il y a là en effet une force sérieuse, du fait du terrain plus haut de notre voisin.
Pour cela, nous allons remplir nos contre-blocs avec des gravillons. Nous utilisons ici de nouveau des débris de béton recyclés. Avec un grain de 4/20.
Du fait qu’il ne contient pas de sable, le mur est aussi perméable à l’eau. Ainsi l’eau du sol pourra être évacuée et elle n’exercera pas de pression sur le mur, ce qui est bon pour la durabilité du mur de soutènement.
Pour amener le béton, nous utilisons une chargeuse compacte. Elle va nous faciliter le travail. Avec un peu d’explication sur son utilisation, elle est en principe, facile à utiliser.
Grâce à la pelle, on peut ainsi amener la couche de béton jusque près du mur.
Il suffit alors de sortir les cailloux du bac à l’aide d’une pelle pour les mettre dans les contre-blocs.
Il va de soi que plus vous serez nombreux à travailler au mur et plus vite il sera fini. Car en se complétant les uns les autres, vous pouvez construire de manière continue et ininterrompue.
Mais avant de pouvoir placer la couche suivante, nous devons d’abord tout bien brosser. Parce que de tous petits cailloux pourraient faire que la pierre murale que l’on posera dessus ne sera pas tout-à-fait droite, ce qui pourrait avoir une grande influence sur le résultat final.
Dès que toutes les inégalités ont disparu, alors nous plaçons la deuxième rangée de blocs.
Nous optons pour les placer en décalé. Cela veut dire que le joint vient précisément au-dessus du milieu de la pierre qui se trouve en-dessous.
En principe, ceci n’est pas nécessaire pour des murs bas, mais cela ne peut pas faire de mal pour la solidité de votre mur. Et c’est aussi plus beau!
Ensuite, nous plaçons la rangée suivante de contre-blocs. Ils n’ont pas de dessus ou de dessous, contrairement aux blocs du mur.
Et entretemps, nous plaçons aussi les blocs d’ancrage.
A partir de maintenant, la construction est rapide. Le travail qui a pris le plus de temps, c’est la délimitation et le placement de la première rangée, le reste maintenant est un jeu d’enfant.
Nous devons simplement empiler les rangs suivants!
La seule chose à laquelle nous devons faire attention, c’est de maintenir le placement en décalé et de ne pas placer la pierre avec le dessus en dessous.
Le côté fraisé doit être au-dessus, sinon les blocs d’ancrage ne se placeront pas bien entre.
Et les petits cailloux doivent aussi être bien enlevés pour éviter les fentes dans les joints.
A partir de maintenant, nous pouvons aussi remplir les contre-blocs des différentes couches de béton.
Nous adaptons la hauteur de notre mur au niveau du sol du voisin.
Nous arrêtons les contre-blocs, deux rangées en-dessous.
Avec quatre rangées, nous avons assez de contrepoids ici et ainsi nous pouvons remplir de terre jusque contre notre mur. Ainsi nous aurons un beau résultat bien propre!
Nous optons pour une finition soignée, donc en accord avec le voisin, nous remplissons l’espace entre le mur et le terrain de terreau jusqu’au niveau du mur. Car il vaut mieux avoir un bon voisin qu’un ami lointain! ;-)
Homme 1
Nous plaçons à nouveau une toile anti-racines pour maintenir la fonction drainante de notre mur.
D’abord, mettre un peu de terre dessus pour qu’il ne s’envole pas et ensuite, nous remplirons jusqu’au niveau souhaité.
Dans la fondation, nous avions déjà prévu une toile anti-racines, et aussi sur le dessus de nos contre-blocs, nous en plaçons aussi une bande.
Nous éviterons ainsi que la terre ne s’insère au fil du temps dans notre couche de béton et mette ainsi le drainage du mur de soutènement en danger.
Après avoir mis un peu de terre sur la toile pour qu’elle reste bien en place, nous pouvons maintenant avec l’excavatrice et la pelle compléter avec de la terre jusque contre notre mur de soutènement.
Sur nos blocs du dessus, nous ne pouvons pas placer de blocs d’ancrage, du fait que des couvres-mur doivent encore être mises en guise de finition du mur.
En principe, vous pouvez simplement les coller.
Mais nous voulons aussi installer une clôture après coup. Comme nous devrons fixer une partie de notre clôture sur le mur avec des poteaux munis d'une plaque d'appui, nous avons besoin d'une surface suffisamment solide pour pouvoir forer.
Pour cette raison, nous décidons de remplir les trous avec du béton car nous pourrons ensuite y faire des fixations solides.
Nous utilisons du béton à prise rapide, qui nous donne un bon résultat et qui du fait qu’il sèche rapidement, il y a moins de chance que nous ayons des taches grises sur notre mur.
Nous réalisons un moule avec un reste de feuille DPC afin de ne pas salir nos pierre et notre mur.
En principe, il suffit de d’abord mettre un mélange de béton dans le trou et de remplir ensuite avec de l’eau.
Si vous souhaitez travailler plus rapidement, vous pouvez mélanger votre béton avant.
Tenez bien compte qu’il durcit très rapidement, il faut donc travailler rapidement.
Plus il fait chaud, et moins de temps vous aurez.
Il faudra ensuite aussi directement nettoyer votre matériel afin que le béton ne reste pas collé!
Ne le faites pas non plus trop liquide, afin qu’il n’y ait pas d’humidité qui suinte dans le mur, ce qui pourrait occasionner un voile gris.
Notre mur est déjà mouillé avec le temps pluvieux, il n’est donc pas nécessaire de l’humidifier davantage pour une meilleure adhérence, parce que les pierres sont déjà mouillées!
Ce béton sèche très rapidement, donc nous pouvons aussi déjà placer les couvres-mur.
Nous les fixons avec du simple mortier dans lequel est ajouté du latex.
Cette matière assure une adhérence solide supplémentaire de nos pierres de recouvrement sur la base.
Nous ne rendons pas notre mortier trop liquide, de sorte que nous pouvons le placer sur notre mur en petits tas.
Ainsi le mortier peut encore un peu descendre lors du placement des pierres et cela laisse plus de jeu pour faire les réglages.
Nous le faisons avec notre niveau et un marteau en caoutchouc.
Plus droites nous placerons nos couvres-mur et moins de travail nous aurons pour placer notre clôture de manière bien droite.
A l’avant, nous faisons bien coïncider les pierres de recouvrement sur le mur. Et nous lissons finalement le joint avec notre palette à lisser.
Nous terminons avec la mesure exacte de notre mur fini, de sorte que nous connaissons la taille exacte avant de commander notre clôture.
En aidant l’entrepreneur environ 48 heures pour la construction du mur de soutènement, nous avons pu épargner environ 1.920 euros.
Avec les 46.910 euros déjà épargnés, nous arrivons à un total provisoire de 48.830 euros.
Dans la prochaine émission, nous allons placer la clôture.
Une partie de celle-ci viendra sur notre mur de soutènement, le reste en plein sol.
Nous terminons l’ensemble avec une double porte, afin de pouvoir atteindre le jardin encore plus facilement.